Maridan-Gyres

Un incendie se déclencha dans ma tête.
Comment avais-je pu me tromper à ce point ?

Je m’étais vu vainqueur de cette belle héritière, présomptueux que j’étais

Je croyais l’avoir complètement séduite et mystifiée sur mes réelles intentions

Ma punition n’en était que plus amère.

Elle avait ouvert la portière de sa TESLA et m’avait largué seul dans la vallée.

Quel con j’étais !

Le soir tombait, les oiseaux chantaient l’arrivée du crépuscule

J’avais donné le bâton pour me faire battre.

Nous n’allions pas en rester là.

Ma vengeance serait implacable

Il me restait six heures de marche pour la peaufiner.

JeanBat