Maridan-Gyres

Illustration : Maïlo

Pauvre océan en poubelle transformé

Aucun respect rien ne t’ait épargné

Îlots flottants immenses de détritus

Aux hommes tu paies un lourd tribu

Ta faune et ta flore sont en partie détruites

Tout est fait pour que rien ne s’ébruite

Les politiques du monde entier sont aveugles et sourds

Ils sont insensibles et hautains à ses appels au secours

Quand il ne restera plus que leurs yeux pour pleurer

Ils se diront alors nous aurions dû l’écouter

Romantini