Atelier 11 - 2025 - Sujet 1
L’été deviendrait-il une saison maudite sur toute la planète ?
J’ai lu que le merlebleu azuré, emblème des États américains de l’Idaho et du Nevada, se nourrissait essentiellement d’insectes et de baies. Voilà un bien triste avenir pour tout ceux de son espèce quand nos velléités de contrôler la nature nous auront tous mis au bord de l’extinction !
Pour certaines tribus indiennes, leur disparition est déjà presque actée. Chasseurs, cueilleurs, ils souffrent déjà du dérèglement climatique. La sécheresse et la déforestation les privent de leurs moyens de subsistance. Et que deviennent ceux qui sont chassés de leur terre par les compagnies pétrolières ? Un sursaut humain, un espoir peut encore inverser le processus, soyons confiant.
Nous avons tellement de belles choses autour de nous à découvrir, à visiter, à nous raconter. Depuis la nuit des temps l’Homme s’est attaché à la beauté de son environnement et l’histoire de l’architecture à travers les époques nous laisse de passionnants récits et de belles et imposantes constructions. Des places fortes conçues pour la défenses des territoires aux châteaux construits pour le rayonnement des rois et des seigneurs, le patrimoine architectural s’expose et se valorise.
Du premier janvier au 31 décembre, tout au long des saisons, une simple rencontre peut nous mettre tous les sens en éveil. C’est cet homme en conversation avec son chien un matin brumeux de novembre qui nous mettra du baume au cœur,
Ou la vision à l’orée d’un bois d’une biche et de son faon qui nous réjouira pour le restant de la journée. Chaque image nous mettant devant l’intime nous plonge dans l’émotion,
Et si une nuit en regardant par la fenêtre on voit la silhouette du chien du voisin se découpant sur la pleine lune, tout de suite notre imagination s’enflamme et nous voilà dans la vallée des loups !
Cette nuit, j’ai fait un mauvais rêve, disons un cauchemar.
Je tenais un petit miroir à main qui me renvoyait l’image d’une vieille femme tellement triste et ridée que je pris peur. De fait, je me suis sentie très lasse, totalement épuisée, à bout de souffle.
J’étais arrivée au bout du voyage, prête à poser là un trop gros bagage.
Mercredi après-midi, après une petite remontrance, Léa 3 ans a pris son petit chat et est sortie en me traitant de méchante.
Le temps de me rincer et sécher les mains je sors la raisonner, elle avait disparue.
Notre jardin pas bien grand est clôt, le portail était fermé.
Le téléphone sonne « Mélisa ? C’est Nicole la voisine, si vous cherchez Léa elle est venue se réfugier chez moi ».
Nicole, sa mamie gâteau la plus proche.
Ce phare perché sur son rocher solitaire tient captif l’esprit de la jeune archéologue. Mais cette fois, au bout de sa troisième année de recherche, elle est persuadé d’avoir mis au jour une partie des pouvoirs de sa mystérieuse clarté verte les nuits de tempête : le rayon lumineux ne guide pas seulement les bateaux, il retient quelque chose dans les profondeurs. Mais quoi ?
Se fédérer autour d’un ballon, sans règle du jeu, sans compétition. Bain de boue et rigolade, ces quatre garçons ont illuminé ma journée de recluse Hikikomori !
A la magie des nombre !
Le chiffre 3 par exemple qui renvoie aux :
- trois formes de la matière : solide, liquide, gazeux,
- trois règnes de la nature (minéral, végétal, animal,
- trois dimensions,
- trois couleurs primaires (bleu, jaune et rouge),
- passé, présent et avenir,
est ajouté dans les 2 colonnes.
A l’horizontal, il vont deux par deux, un pas d’écart, chacun avance avec celui qui le suit : quatre duos en marche.
Mais alors que fait le 12 tout seul ? Je le retiens, il est aussi de bonne compagnie hautement symbolique !
Le temps d’un coucher de soleil sur la mer, bref instant de plénitude éblouissante, et je fait signe au 12 pour remplacer le 11 dans cette nouvelle suite à base 3.
Et voilà le compte est bon !
Mélisa
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