Maridan-Gyres

Je ne suis qu’un baladin,

Qui vous conte des histoires,

Pour les adultes et les bambins,

Que chacun adore croire.

Elles viennent de vieux grimoires,

Qui parlent de mille et une nuits.

Très pauvre était son père,

D’une princesse riche et glamour

Il aima ses manières,

Il la désira avec amour.

Aladin était son nom,

Pour arriver à ses fins,

L’imaginaire fécond,

S’imposa comme Merlin.

Je ne suis pas Aladin,

Je n’ai pas de lampe merveilleuse,

Je ne suis qu’un baladin,

Pour vous rendre la vie heureuse.

Dans ma, lampe pas de génie,

Elle te donnera la lumière,

Afin que tu t’ingénies,

Pour réaliser à ta manière,

Nombre d’épopées magnifiques,

Peuplées de belles princesses,

Séduite avec des moyens magiques,

Et beaucoup de hardiesse.

Je n’ai pas de tapis volant,

Pour vous rejoindre héroïnes,

Mais simplement un vélo tremblant

Pour que vers vous, je m’achemine.

Je vous révèle des rêves,

Qui arrivent du fond des temps,

Ils vous assureront une trêve.

Je vous les conte en chuchotant.

Toi, tu deviens le beau prince,

Tu bouscules le grand méchant,

Avec force, tu l’évinces,

Ton courage devient touchant.

Et toi, la belle princesse,

Promise à un être odieux

Tu es délivrée avec tendresse

Par ce prince, pour tes beaux yeux,

Oyez, oyez braves gens,

Cherchez votre lampe magique,

Existez, la vie vous attend

Vous verrez, elle sera magnifique.

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