Atelier 4 - 2025 - Sujet 1
L ' ÉCUREUIL CURIEUX
Sur un sentier sinueux, dans un sous bois brumeux,
Vivait un écureuil d'un pelage soyeux.
Sifflait le vent, berçant les feuillages,
Dans ce havre de paix propice aux mirages.
Éclairé par l'éclat des éclats du soleil,
L'écureuil curieux partait dès le réveil.
Ses yeux pétillants, scrutant les alentours,
Sous l'ombre ondulante des doux jours de velours.
Loin des trépidations, loin des agitations,
Il grimpait, rampait, cherchait des sensations.
Dans les frondaisons fraîches, il trouvait des trésors,
Des noix et des noisettes, un régal à son corps.
Un matin de printemps, parmi les fleurs closes,
L'écureuil s'aventure, explore les petites choses.
Son cœur d'aventurier, battant la chamade,
Découvrit un abri, une grotte en cascade.
Les assonances douces telles des caresses
Se fondaient harmonieusement dans la liesse.
L'écureuil ébloui par tant de merveilles
Fit de cette cachette son nid sans pareil.
MARIE SYLVIE
���������������
b ) des allitérations
L' ÉCUREUIL CURIEUX ET LE CHÊNE CHUCHOTANT
Dans la forêt foisonnante, aux feuillages flottants,
L'écureuil curieux cueillait calmement.
Des branches balancées, il bondissait bravement,
Sous les ombres oscillantes, il explorait l'élément.
Les feuilles frissonnantes, frôlant finement,
Guidant l'écureuil gaillard, guilleret, joyeusement.
Les grives gazouillaient, gracieuse, en grappe,
Leurs chants suaves et sereins, s'unissaient en nappe.
Un chêne colossal, caché dans le coin, ,
Semblait sussurer secrets et soins.
Ses branches bruissaient, berçant l'air bénin,
Offrant à l'écureuil un abri serein.
Blotti, bercé sous le branchage boisé,
L'écureuil écoutait attentif, abasourdi.
Les légendes livrées, lentement, envoûtantes,
Peignaient des paysages lumineux, apaisants.
Les mystères murmurés, magiques et mouvants,
Emportaient l'écureuil, ébahi, en suspens.
Des rêves radieux rencontraient sa route,
Dans ce monde merveilleux, jamais ne s'ajoute.
MARIE SYLVIE
���������������
c ) des redondances
L'ÉCUREUIL CURIEUX ET LE SENTIER SANS FIN
L'écureuil curieux, l'écureuil curieux,
Avançait doucement, avançait doucement
Dans la forêt sans fin, dans la forêt sans fin,
Cherchant l'inconnu, cherchant l'inconnu.
Il découvrait des chemins, il découvrait des chemins,
Sans jamais s'arrêter, sans jamais s'arrêter.
Les arbres dansaient, les arbres dansaient,
Sous le souffle du vent, sous le souffle du vent.
Le ciel s'éclaircissait, le ciel s'éclaircissait,
Peignant des tableaux d'azur, peignant des tableaux d'azur.
L'écureuil émerveillé, l'écureuil émerveillé,
S'arrêtait pour admirer, s'arrêtait pour admirer.
Les trésors de la nature, les trésors de la nature,
Se dévoilaient à ses yeux, se dévoilaient à ses yeux.
Les feuilles scintillaient, les feuilles scintillaient,
Comme des joyaux éparpillés, comme des joyaux éparpillés.
Son cœur battait fort, son cœur battait fort,
Guidé par l'aventure, guidé par l'aventure.
L'écureuil curieux, l'écureuil curieux,
Vivait ses rêves en vrai, vivait ses rêves en vrai.
MarieSylvie
A découvrir aussi
Retour aux articles de la catégorie Marie Sylvie -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 500 autres membres