Atelier 6 - 2020 - sujet 4
S’il est admis que le bougeoir est le support adapté à la bougie, alors il serait judicieux de penser que l’anonymat des réseaux sociaux est le complice de la cybercriminalité.
Il est aisé d’observer que nos enfants sont friands, voir accros, des réseaux sociaux de tous types.
La cybercriminalité commence de manière anodine, par un évènement simple, une demande d’ami.
Celle-ci est acceptée après que votre enfant se soit illusoirement rassuré de voir ce contact également ami avec une personne qu’il connaît dans la vraie vie.
Cet « ami » réussi, dès lors facilement, à joindre votre chérubin par le biais de la messagerie instantanée. De nombreux messages seront échangés sans que les parents puissent en connaître la teneur puisque ceux-ci s’effacent en ne laissant aucune trace.
Bien que les parents soient de plus en plus dans une démarche de prévention et de contrôle des écrans et réseaux sociaux pour leurs jolies têtes blondes en utilisant certains outils comme le contrôle parental, ils sont limités à ce qui est visible.
Caché derrière un pseudo, nul parent ne peut, en toute lucidité, déterminer les intentions de ce contact.
Il est donc primordial d’instaurer un dialogue quotidien de partage et d’échange au sein du foyer pour initier la prévention et les risques de la cybercriminalité.
Steph
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