VICTIME DE L’APANAGE

Dans un soliloque, il s’exprimait,

Pourquoi lui le puiné devait accepter,

De ne pas régner sur son pays,

Et d’abandonner bien des acquis.

Sa colère n’était que rage,

Victime du droit de l’apanage,

Il ne devait que croiser le pouvoir,

Sans le transgresser pour espoir.

Certes il pouvait vivre avec autonomie,

Mais en vivant à l’écart de la zone,

Où avec panache son grand frère trône.

Peut-être rentrera-t-il à l’académie,

Lui qui a la plume alerte,

Pour inventer des histoires ou lettres ouvertes.

François A.