Maridan-Gyres

C’est bien de lui que l’on dit qu’il  est le début d’un système qui se termine vers le sombre z, si zélé ?

Pensez-vous  qu’un tel exercice eut pu voir le jour ?

Le ciel qui s’illumine joliment lorsque le soleil épuisé glisse doucement derrière l’horizon, stocke couleurs et souvenirs pour de meilleurs jours futurs. Espérons !

Les cieux reviennent d’une nuit sereine. Ils sont pour le moment teintés d’une couleur ocre et dense.

Quel est cet évènement qui trouble notre vision d’un tel décorum ?

Nous l’ignorons.  C’est surement  le sirocco ce vent venu du sud qui dépose les poussières du désert sur nos terres européennes.

Cette zone désertique subit ponctuellement une dépression – personne n’en est exempté !

L’humidité nocturne et les pluies imminentes  vont coller ce limon sur tout ce qui se trouve sur son  chemin.  Et surtout,  sur TOUT.

Pour terminer ce point météo qui ternit ce jour où le désert vient déposer ses immondices  sur un printemps qui s’éveille, vert, fleuri, prometteur de fleurs et de couleurs, les pinsons, merles et tourterelles, sifflent, roucoulent et s’égosillent vigoureusement sur le pommier plein de bourgeons.

Ni les feuillus des forêts,  ni les verdures des sylvestres, ni les flots des mers tumultueuses qui touchent  les cieux  tourmentés, ni les êtres qui peuplent cette terre, ne peuvent penser se dispenser de celui-ci si petit, si subtil, et en même temps décidément utile, voire essentiel pour dérouler nos pensées.

Et bien je dis Zut !

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